Non, il ne s’agit pas des soldes !
Précipitez-vous, VITE, ce sont
LES DERNIERS JOURS DE POMPÉI
un art de vivre… à en mourir !
Musée Maillol
59/61, rue de Grenelle
75007 Paris
59/61, rue de Grenelle
75007 Paris
EXCENTRIC-NEWS | Consultez la POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ et LE PORTAIL, MODE D'EMPLOI
Rien ne vaut les implants en MI-CHO-KO pour soigner les ptôses mammaires…
Même si t’es la cité citée, t’es peut-être appelée à mourir sans savoir que si tu l’es ; comme nous, toutes, tous, nous sommes ainsi cités, sans le savoir, tout en le sachant – allez, en prime, un sachet de la Pie Qui Chante, pour avoir lu jusque là – Mais ceci fait que même si t’es la cité interdite, tu deviens la cité à fric, même si t’es plus rien. Ce sont d’autres qui ramassent – et amassent – les sesterces. Pauvre patricienne avec tes seins des derniers jours qui ne servent plus à rien !
La belle cité citée en est morte de son art de vivre… à la fin.
Je ne suis responsable d’aucune interprétation : l’affiche reconstituée, il est vrai, est la copie de celle que j’ai vu au ‘cul’ d’un autobus de la RATP, quant à l”art de vivre’, c’est le sous-titre officiel de l’expo. On ne prendra pas un vieux communiquant dans un piège aussi vaseux !
Je vois…
Je me demandais bien, en effet, quel sens vous mettiez dans cette expression “art de vivre”.
Ceci dit une pensée émue pour ces belles patriciennes qui exhibaient leurs seins des derniers jours dans une dernière danse au-dessous du volcan.
Mille e tre… Présomptueuse ! Espèce de Pénélope !
Oh, je sais bien! Même que vous avez une foule de groupies et qu’il va vous falloir songer sérieusement à faire des affaires avec leur commentaires sur iiibêêêêêê!
D’ailleurs, il faut, moi aussi, que j’envisage de commercer avec les quelques huit mille commentaires des prétendants de Gertrude qui commencent à encombrer mon arrière boutique.
Scuse me, my Dear! De mes admiratrices… et vous n’êtes pas la seule !
Ouf! J’ai eu peur en voyant l’intitulé.
J’ai cru que c’était la tectonique de votre blog qui entrait en éruption cutanée menaçant d’engloutir toute votre belle littérature et que vous soldiez les merveilleux commentaires de vos admirateurs.
Non, ceux là, art de vivre ou de mourir sur un volcan, ont vécu leurs derniers jours il y a bien longtemps…