
Ne les consigne pas, abandonne tes rêves aux brumes de l’aube, mais n’oublie pas de saluer fraternellement le voyageur qui avec eux s’estompe.
Ne les consigne pas, abandonne tes rêves aux brumes de l’aube, mais n’oublie pas de saluer fraternellement le voyageur qui avec eux s’estompe.
EXCENTRIC-NEWS | Consultez la POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ et LE PORTAIL | MODE D'EMPLOI
C’est vrai : féminines fraternités, ça ferait drôle.
Féminines aimances me plaît davantage.
Le « que puis-je ajouter » me paraît bien défaitiste…
Dans ce que Derrida « ouvre », l' »anticipation du deuil », la « nécessaire mélancolie », par exemple sont bien singulières et peuvent donner envie d’y objecter… en ce qui me concerne, du moins bien que par ailleurs, paradoxalement, j’y souscrive vraiment ! Question d’angle de vue.
N.
Effectivement. Et dire qu’il est de féminines fraternités ne fera rien à l’affaire.
Par ailleurs, j’ai lu attentivement votre Derrida. Merci de ces ‘éclairements’. Que puis-je y ajouter ? Revenir sur Montaigne et La Boétie, peut-être.
Voici ce thème que je viens d’approcher avec Derrida, évoqué ici autrement
!
Pour faire le lien entre les deux traitements de ce mot, s’il s’était agi de « la voyageuse » est-ce que « fraternellement » aurait été pertinent ?
And what else ?
N.