EXCENTRIC-NEWS
DE SITES ET DE BLOGUES DEPUIS 2003
PUBLICATIONS RÉCENTES
INDEX DES ARTICLES 2003 – 2023

À y réfléchir
Une parole sans présence
Un témoin de plus
Ni visible ni prévisible Juste un surprenant
Mouvement de lenteur
Une intranquille assurance
Les deux
L'accompagnent vers l'oubli Par le feu
Avec minutie Silencieuse
Étrangère Cette présence frustrée
Et toutefois allégée Comme une précarité
Si muette
Où erre sans fin
Une étrange colère
Avec de si obscurs mots __________ Elle est l'écho
Celui qui ...
LIRE+
Une parole sans présence
Un témoin de plus
Ni visible ni prévisible Juste un surprenant
Mouvement de lenteur
Une intranquille assurance
Les deux
L'accompagnent vers l'oubli Par le feu
Avec minutie Silencieuse
Étrangère Cette présence frustrée
Et toutefois allégée Comme une précarité
Si muette
Où erre sans fin
Une étrange colère
Avec de si obscurs mots __________ Elle est l'écho
Celui qui ...
LIRE+

De Boris Vian, on connaît ses romans, notamment "J’irai cracher sur vos tombes", "L'écume des jours"…, ses chansons, celle-ci, et surtout "Le déserteur", mais aussi le musicien de jazz à la "trompinette" – c’est son mot – des années d’après-guerre (la seconde). « Fais-moi mal Johnny » est écrite en ...
LIRE+
LIRE+

À chaque attente
Une question
Une aurore
Un matin pour rire
Ou une nuit pour pleurer Il suffit d'une errance
Aussi belle que mes passions Aussi seule
Aussi vive
Aussi vigilante Où sont ces oiseaux qui
Volent se posent ?
À vive allure
Comme pour empêcher
La question Au bord du verre de vin
Toute la poésie
D'oublier
Ou de déchanter Le vin rougit
Porte-t-il ...
LIRE+
Une question
Une aurore
Un matin pour rire
Ou une nuit pour pleurer Il suffit d'une errance
Aussi belle que mes passions Aussi seule
Aussi vive
Aussi vigilante Où sont ces oiseaux qui
Volent se posent ?
À vive allure
Comme pour empêcher
La question Au bord du verre de vin
Toute la poésie
D'oublier
Ou de déchanter Le vin rougit
Porte-t-il ...
LIRE+

L’esclavage est, pourrait-on avancer, de toute histoire humaine. On en découvre les traces archéologiques avant le néolithique et les patriarches bibliques étaient eux-mêmes esclavagistes. Pour d’aucuns la violence faite à l’autre – l’esclavage en est une, parmi d'autres – serait de toute « nature humaine ». Pensons au 'vieux' débat ...
LIRE+
LIRE+

Je les vois tous, médias ou pas … et patatras. Ils cherchent tous le mode d’emploi de cette guerre qui est à notre porte, à notre fenêtre (de médias), sous nos pas. Et ils ne le trouvent pas, parce que bêtement, il n’y en a pas. Oui, non, il n’y en ...
LIRE+
LIRE+

Tant d'années
Quand toute la vie le mérite Leïla
Ma sœur
Cœur défaillant Le soleil me manque
La rivière autant ! dis-tu
Leïla Ô amour
Ma sœur Vite ! Sans dire
Sans penser
Comme de la bouche d'un enfant Es-tu la fille de ma mère
Ou le songe de tes somnolences ? Quand le sommeil te manque
Comme autant les berceuses
De nos enfances ...
LIRE+
Quand toute la vie le mérite Leïla
Ma sœur
Cœur défaillant Le soleil me manque
La rivière autant ! dis-tu
Leïla Ô amour
Ma sœur Vite ! Sans dire
Sans penser
Comme de la bouche d'un enfant Es-tu la fille de ma mère
Ou le songe de tes somnolences ? Quand le sommeil te manque
Comme autant les berceuses
De nos enfances ...
LIRE+

L’Étranger ! Est-ce Mon nom
Ou le Sien ? Nous faut-il encore du temps
De l’entrain
Pour célébrer
Les miroirs ? Que la nuit soit vidée
Que le jour soit labouré Si étranges sont nos passés
De-ci ou de-là
Des îlots Il n’y a plus rien ou presque Le bourreau insiste
N'est-il pas heureux de l'exécution !
D'où venez-vous ?
Creusez
Creusez vos tombes
Elles n'auront ni ...
LIRE+
Ou le Sien ? Nous faut-il encore du temps
De l’entrain
Pour célébrer
Les miroirs ? Que la nuit soit vidée
Que le jour soit labouré Si étranges sont nos passés
De-ci ou de-là
Des îlots Il n’y a plus rien ou presque Le bourreau insiste
N'est-il pas heureux de l'exécution !
D'où venez-vous ?
Creusez
Creusez vos tombes
Elles n'auront ni ...
LIRE+

Faut-il le vouloir
Faut-il l'énoncer
À la lune des vents Je t'attends comme
Une foudre
Hâtive
Sans nulle pareille Comme un fossoyeur
Tenant
À la terre sa chevelure Mais rien n’est prêt
Comment dire cela Comme une ombre
Qui attend son ombre
Ou si peu Comme un promeneur
À bout de ses songes Tant qu'il pourra
Il sera sourd
Face à la terre
Miroir ...
LIRE+
Faut-il l'énoncer
À la lune des vents Je t'attends comme
Une foudre
Hâtive
Sans nulle pareille Comme un fossoyeur
Tenant
À la terre sa chevelure Mais rien n’est prêt
Comment dire cela Comme une ombre
Qui attend son ombre
Ou si peu Comme un promeneur
À bout de ses songes Tant qu'il pourra
Il sera sourd
Face à la terre
Miroir ...
LIRE+

Tu me regardes
Comme tu dévisages un étranger
Ivre dans ses pas C’est la nuit
Il pleuvait
Il pleuvait des cordes
À se pendre J'ai bien de la peine à me souvenir
De mon visage Tu regardes l'instant
Tout haut vers l'air et le feu
Ou peut-être vers l’insaisissable
Mer ou océan Comme
Un miroir brisé
Qui se cherche
Dans ses éclats ...
LIRE+
Comme tu dévisages un étranger
Ivre dans ses pas C’est la nuit
Il pleuvait
Il pleuvait des cordes
À se pendre J'ai bien de la peine à me souvenir
De mon visage Tu regardes l'instant
Tout haut vers l'air et le feu
Ou peut-être vers l’insaisissable
Mer ou océan Comme
Un miroir brisé
Qui se cherche
Dans ses éclats ...
LIRE+

Un jour se posera
Sur ta bouche
Comme une asphyxie
Un paysage sans présences
Sans rêves
Dépouillé de tout mensonge
Une sorte de mort
Sans se presser de traverser
Une absence
Moins tragique qu’un retour
Plus léger qu’un soupir
La terreur au ventre
Et le désir de mourir
Comme excès de
Trop de lumière
Peut-être même
De jour ou de nuit
Comme un papillon
Tout me prête son ...
LIRE+
Sur ta bouche
Comme une asphyxie
Un paysage sans présences
Sans rêves
Dépouillé de tout mensonge
Une sorte de mort
Sans se presser de traverser
Une absence
Moins tragique qu’un retour
Plus léger qu’un soupir
La terreur au ventre
Et le désir de mourir
Comme excès de
Trop de lumière
Peut-être même
De jour ou de nuit
Comme un papillon
Tout me prête son ...
LIRE+

Si près tu sois
La nuit de l'homme
Pleure l'homme Je parle
Mais de quoi
Ai-je lâché la mort
Pour une autre
Jusqu’à composer
Mon nom d’oubli De quel visage
De quelle vie
Ou de quel enfer
Parles-tu
L’étrangère Il y a sous la cendre
Un hommage rendu
À l’ombre
De ce qui finit
Sans nom Le ravage en vaut-il la peine
Peut-être
À travers le trouble
Qui ...
LIRE+
La nuit de l'homme
Pleure l'homme Je parle
Mais de quoi
Ai-je lâché la mort
Pour une autre
Jusqu’à composer
Mon nom d’oubli De quel visage
De quelle vie
Ou de quel enfer
Parles-tu
L’étrangère Il y a sous la cendre
Un hommage rendu
À l’ombre
De ce qui finit
Sans nom Le ravage en vaut-il la peine
Peut-être
À travers le trouble
Qui ...
LIRE+

Chaque motte de terre
Ne faut-il mon amour
L’abreuver de ta dissidence ?
Tant que ton corps
Respire l'eau
La pierre
Le thym et la jacinthe
Le ciel
Les cerfs-volants
Le jour
La lumière
Les douleurs d'une femme
Qui accouche
La fatigue d'une attente La tienne et celle des étoiles
Filantes Je me trouvais dans
Des langues qui ne signifiaient
Rien
Ou tout au plus
Très peu Chaque regard ...
LIRE+
Ne faut-il mon amour
L’abreuver de ta dissidence ?
Tant que ton corps
Respire l'eau
La pierre
Le thym et la jacinthe
Le ciel
Les cerfs-volants
Le jour
La lumière
Les douleurs d'une femme
Qui accouche
La fatigue d'une attente La tienne et celle des étoiles
Filantes Je me trouvais dans
Des langues qui ne signifiaient
Rien
Ou tout au plus
Très peu Chaque regard ...
LIRE+

De l'envie d'oublier jusque la confusion En maraude
Est-ce une promenade
Du côté
Du temps ? Les étourneaux savent
Ce que la peur doit
À la solitude Les fleurs – l’hibiscus des marais consentent
À ce que le silence
Contribue à leur légende
Et
Comme le vent
Aide à leur fin L’intranquillité connaît
Peu
De ce qu’un nuage
Doit à lui-même Comme l'homme connaît
Peu
Des ...
LIRE+
Est-ce une promenade
Du côté
Du temps ? Les étourneaux savent
Ce que la peur doit
À la solitude Les fleurs – l’hibiscus des marais consentent
À ce que le silence
Contribue à leur légende
Et
Comme le vent
Aide à leur fin L’intranquillité connaît
Peu
De ce qu’un nuage
Doit à lui-même Comme l'homme connaît
Peu
Des ...
LIRE+

Est-ce Mon nom
Ou le Sien ? Ce lieu
S' invente
Vie
Dans de ce qui
S'absente
Et s'articule faux C'est un sentiment obscur
D'y être mêlé Comme le visage
De l'aimée
Comme la figure
De l'absente Amante Je suis l'oiseleur
Attendant les oiseaux
Sous le mûrier Les débris de l'ombre
Semblent venir
Du bout de l'arbre Exilé
Qui ne cesse
De revenir
Dans les galops
Des colères ...
LIRE+
Ou le Sien ? Ce lieu
S' invente
Vie
Dans de ce qui
S'absente
Et s'articule faux C'est un sentiment obscur
D'y être mêlé Comme le visage
De l'aimée
Comme la figure
De l'absente Amante Je suis l'oiseleur
Attendant les oiseaux
Sous le mûrier Les débris de l'ombre
Semblent venir
Du bout de l'arbre Exilé
Qui ne cesse
De revenir
Dans les galops
Des colères ...
LIRE+

Je t’ai cherché
Au matin d’un désert
Au soir d’une ville
Dans ce qui nous conte
Et palpite sous le cœur
Hors de la vie
Énigme, dit-on Je t’ai cherché
Au matin d’un siècle
Au soir d’un livre
Sans promesse
Quel cri plus déchirant
Que ton exil ! Je t’ai ...
LIRE+
Au matin d’un désert
Au soir d’une ville
Dans ce qui nous conte
Et palpite sous le cœur
Hors de la vie
Énigme, dit-on Je t’ai cherché
Au matin d’un siècle
Au soir d’un livre
Sans promesse
Quel cri plus déchirant
Que ton exil ! Je t’ai ...
LIRE+

Est-ce toujours moi ?
Est-ce toi ?
Là-bas, par ici.
Qui apprivoise le vent de sa déraison
Et ouvre une brèche aux silences Et je m'en vais chanter la colère
Et je m'en vais chanter mes adieux
Est-ce moi ?
Est-ce toi ?
Toutes ces absences
Tous ses quais vides
Toute cette terreur au ventre
À faire route
À faire chemin Et ...
LIRE+
Est-ce toi ?
Là-bas, par ici.
Qui apprivoise le vent de sa déraison
Et ouvre une brèche aux silences Et je m'en vais chanter la colère
Et je m'en vais chanter mes adieux
Est-ce moi ?
Est-ce toi ?
Toutes ces absences
Tous ses quais vides
Toute cette terreur au ventre
À faire route
À faire chemin Et ...
LIRE+

Qu’est-ce, ce « super grammaticam », me demanderez-vous ? La réponse se trouve à la fin du texte, lisez d’abord, vous répondrai-je. Certes, mais il s’avère que cette figure de « super grammairien », est en l’occurrence celle de Sigismond, roi de Rome, souverain du Saint-Empire germanique au quinzième siècle, qui aurait hérité de ce ...
LIRE+
LIRE+

Alors qu'on nous assène des 'Napoléon… Oui !', des 'Napoléon… Non !' … des 'Napoléon… Mais quand même !' Il me revient cette comptine que nous chantonnions, gamins, dans la cour de la communale à la fin des années cinquante… d'un autre siècle… Napoléon est mort à Sainte Hélène,
Son fils ...
LIRE+
Son fils ...
LIRE+

Auteur célèbre du roman 'Le Meilleur des mondes' ('Brave New World'), en 1932, Aldous Huxley revient sur le sujet, en 1958, avec son essai 'Retour au Meilleur des mondes' ('Brave New World Revisited'). Entre les deux œuvres une guerre a passé… mais le Monde a-t-il changé ? … et en ...
LIRE+
LIRE+

De ces paroles blasphématoires, ces beaux jurons libératoires, de ces 'chierie', prononcées à forte voix, qui ponctuaient, libéralement, le labeur dans l'atelier familial – le 'labo', la 'cuisine', c'est selon –, je me souviens, de toute (petite) enfance, de cela, somptueux : 'Nom de Dieu de chierie de bécane à ...
LIRE+
LIRE+

S'agirait-il de vous rendre un dernier hommage ? Non ! Jamais tel hommage, voire même des hommages réitérés, ne pourra, ne pourront, ne voudront être derniers. Tant votre présence ici participe d'un commerce journalier, Philippe Jaccottet ! – J'entends volontiers cette 'journée' au sens, très ancien, du labeur qui en ...
LIRE+
LIRE+

Indolentes ou rêveuses
Les mouches – en sustentation
Sous la suspension On découvrira cette curieuse Histoire de la mouche peinte, où l’illustration trouve sa source… ‘Fourmis’ et ‘mouches’ – ce dernier terme ne s’appliquant d’ailleurs pas toujours qu’aux muscidés – sont, c’est sûr, de petites bestioles, très [trop ?] familières, ...
LIRE+
Les mouches – en sustentation
Sous la suspension On découvrira cette curieuse Histoire de la mouche peinte, où l’illustration trouve sa source… ‘Fourmis’ et ‘mouches’ – ce dernier terme ne s’appliquant d’ailleurs pas toujours qu’aux muscidés – sont, c’est sûr, de petites bestioles, très [trop ?] familières, ...
LIRE+
L'ami Navago… ! Dans une lancinante vision hallucinée, nos esprits se débattent, les blessures se ravivent, tant menaçantes… Le sentiment du beau peut faire aimer un être. Nous sommes de cette beauté, parce qu'elle émane de nous. La beauté participe de l'humanisation de l'homme. Il ne nous suffit pas d'aimer, ...
LIRE+
LIRE+

À LA MÉMOIRE DE PHILIPPE JACCOTTET MOUDON, 30 JUIN 1925 – GRIGNAN, 24 FÉVRIER 2021 Vite, sans dire, sans penser, traverser un pré printanier, parsemé de pensées et de si frêles coquelicots en chemises dégrafées. Le regard se pose, l'ouïe se dresse face à la rivière. En contrebas, son lit ...
LIRE+
LIRE+
N.B. : Vous trouverez ici les billets ou articles depuis l’origine ; les pages principales des blogues et sites peuvent être consultées via le menu principal en haut de page. Par contre, elles sont indexées dans le moteur de recherche ci-dessus.
Les contenus du portail – à l’exception de LA PAGE DE TAREK ESSAKER [généralement de tous droits réservés] – sont couverts par la LICENCE CREATIVE COMMONS CC BY-NC-ND 4.0 INTERNATIONAL, sauf mention contraire.