À l’heure où se profile un ultime combat — déjà perdu… — pour défendre les valeurs des Lumières contre les propositions magiques, il faut promouvoir une laïcité post-chrétienne, à savoir athée, militante et radicalement opposée à tout choix de société entre judéo-christianisme occidental et l’islam qui le combat. Ni la Bible, ni le Coran. Aux rabbins, aux prêtres, aux imams, ayatollahs et autres mollahs, je persiste à préférer le philosophe. À toutes ces théologies abracabrantesques, je préfère en appeler aux pensées alternatives à l’historiographie philosophique dominante : les rieurs, les matérialistes, les radicaux, les cyniques, les hédonistes, les athées, les sensualistes, les voluptueux. Ceux-là savent qu’il n’existe qu’un monde et que toute promotion d’un arrière-monde nous fait perdre l’usage et le bénéfice du seul qui soit. Péché réellement mortel…
Michel Onfray, Traité d’athéologie, Grasset & Fasquelle, 2005, page conclusive.
Onfray !…
Il est le lumineux, le solaire amoureux philosophe qui a contribuer à débroussailler mes aventure exloratives du côté des grecs et d’autres.…
Moins bien adhéré à son analyse sur le Divin Marquis.