Je les vois tous, médias ou pas … et patatras. Ils cherchent tous le mode d’emploi de cette guerre qui est à notre porte, à notre fenêtre (de médias), sous nos pas. Et ils ne le trouvent pas, parce que bêtement, il n’y en a pas.
Oui, non, il n’y en a pas. La guerre n’a pas de mode d’emploi. Elle se fait ou elle ne se fait pas. C’est tout. Et c’est beaucoup. Beaucoup trop (pour moi et beaucoup trop d’autres comme moi). Allons enfants de la fratrie…
Et pendant ce temps-là, on fête entre nous, gens du bonheur de celui-là, les quarante ans du départ d’ici-là (non, pas ici-bas – il n’y a pas de là-haut, ici-là chez nous) du décollage, du décolletage, d’un zigue (comme moi et beaucoup d’autres comme moi), un dénommé Georges Perec.
Heureux mec de t’être décollé, d’avoir décollé de tout ça avec ta « Vie mode d’emploi ». Toi, la guerre, tu connais pas, tu connais plus… Et les cons – je ne les cite pas – sont toujours là à leur (juste) place, au milieu de tout ça. Au milieu de cette guerre-là. Les cons !
Salut, l’Ami ! Allez, je t’appelle Georges, pour une fois… pour toujours.
Ce billet eut pu s’intituler LA GUERRE MODE D’EMPLOI… mais allez savoir pourquoi…
On lira un autre billet consacré à l’Ami Georges, ☞ ICI-BAS
P.S. : Et puis, pourquoi pas par les temps qui courent – et qui chassent ! – se priver de ce petit bonheur-là, manière d’en remettre une couche…