inerte
immerge le vertige
t’emporte te prolonge
traces nouées
chaos avec ce trouble fécond
de ton ailleurs ellipse
entre surprendre à tout instant
force vitale au hasard oubliée
et silence qui tisse la rosée
et l’indicible dans l’oblique horizon
l’éclat vigile
éraille les signes
d’un désordre nu
et n’en laisse aucune trace…
Tarek Essaker, 18 novembre 2010
Photo : L’asfalto di Acquatino, VS., 29/07/10, à la mémoire de M.H.A.