RÉSURGENCE | En 2000, pendant quelques semaines, je rédigeai un journal automnal et parisien. Ses meilleurs pages tournent, à partir de cette zone névralgique pour moi, entre le pont Alexandre III et la cour carrée du Louvre, autour d’une réflexion sur la peinture de Paul Cézanne et de ses proches. Tentative modestement comparable à celle menée par Peter Handke dans sa Leçon de la Sainte-Victoire à propos de ce même Cézanne. Relier mouvement de l’écriture et forme de la peinture. Je vous laisse juge. [VincentSteven]
Ce texte émane de la page, où l’on trouvera également une lettre à la dédicataire, PAUL CÉZANNE ET QUELQUES-UNS, CET AUTRE REGARD