SOLITUDE [ROBERTO JUARROZ / OCTAVIAN PALER]
Il est des moments
où les deux solitudes
ne peuvent se toucher.
L’homme se retrouve alors au milieu
comme une porte
inopinément fermée.
Il est des moments
où les deux solitudes
ne peuvent se toucher.
L’homme se retrouve alors au milieu
comme une porte
inopinément fermée.
Être dans la vie
comme la fente dans le mur
il suffirait d’être soi-même,
sans être à soi-même.
Cheminant dans le jardin de la mort… bifurquant : Plainpalais à Genève ou La Recoleta à Buenos Aires… ? L’article du Courrier International ayant été retiré, on se reportera à celui de El Pais (en espagnol-castillan) ci-dessous. Caminando en el jardín de la muerte… bifurcando: Plainpalais en Ginebra o La Recoleta en Buenos Aires…? … LIRE+
Hay imágenes míticas que viven en el centro de palabras ordinarias, así: ‘Con la lluvia, llegó el otoño, el tiempo del vino’ – Juan José Saer, La grande – ¡Viejas civilizaciones que van a morir! Para L.S.