JE M’ÉTAIS NOURRI DE TON ÊTRE [RENÉ LEIVA]
Je me suis nourri de ton être
De lui j’ai appris l’anthropophagie
J’ai bu à tes seins
Je me suis régalé de tes cuisses
J’ai étanché ma soif à tes lèvres…
Je me suis nourri de ton être
De lui j’ai appris l’anthropophagie
J’ai bu à tes seins
Je me suis régalé de tes cuisses
J’ai étanché ma soif à tes lèvres…
Ah, qu’il empoisonne la Toile, ce ‘virtuel’ qui n’existe pas. Il est là, mais impossible de le définir…
Aucune pensée ne peut nous appartenir
C’est à nous
Si elle nous paraît digne
Si nous nous sentons digne d’elle
De tenter de la faire vivre