LOMER [RICHARD DESJARDINS]
Adieu mon frère, adieu ma sœur,
demain à l’aube les pieds nus,
j’irai dans les vastes noirceurs
d’où personne n’est revenu.
Adieu mon frère, adieu ma sœur,
demain à l’aube les pieds nus,
j’irai dans les vastes noirceurs
d’où personne n’est revenu.
Il paraît parfois hâtif d’écrire. Ou trop tardif. Cependant urgente nécessité de dire, comme craignant quelque manque irrémédiable. De Joé Bousquet (1897-1918-1950), je ne dirai ici que bien (trop) peu. Une part de mon propos, où cette présence s’enracine profondément, se trouve déjà par ailleurs dans mon horizontalité / verticalité – par la ‘bande’, si … LIRE+