LOMER [RICHARD DESJARDINS]
Adieu mon frère, adieu ma sœur,
demain à l’aube les pieds nus,
j’irai dans les vastes noirceurs
d’où personne n’est revenu.
Adieu mon frère, adieu ma sœur,
demain à l’aube les pieds nus,
j’irai dans les vastes noirceurs
d’où personne n’est revenu.