AUX PORTES DE TUNIS [TAREK ESSAKER]
L’aspiration irrésistible de ce qui se cache et se révèle dans la tension inéluctable vers l’illisible oubli. Porte-perte, ville-vie, amour-la mort sont les noms des stations que traversent chacun de ces textes.
L’aspiration irrésistible de ce qui se cache et se révèle dans la tension inéluctable vers l’illisible oubli. Porte-perte, ville-vie, amour-la mort sont les noms des stations que traversent chacun de ces textes.
« Entre eux, comme ce lieu avec son grand air fixe, la retenue des choses en leur état latent. »
Oubli : le temps n’y fait rien. Le souvenir exaspère ou approfondit, il rend vrai. … pensant à Elias Canetti. Consultations 2021-2022 : 0