CE POURQUOI ON VOUS APPRENDRA À OUBLIER [TAREK ESSAKER]
Quant à moi
Je suis l’oiseleur
Rêvant les oiseaux
Sous le mûrier
Seul
Quant à moi
Je suis l’oiseleur
Rêvant les oiseaux
Sous le mûrier
Seul
C’était comme une promesse
Entre deux joies ou deux peines
D’une mouette de mauvaise
Folie
L’aspiration irrésistible de ce qui se cache et se révèle dans la tension inéluctable vers l’illisible oubli. Porte-perte, ville-vie, amour-la mort sont les noms des stations que traversent chacun de ces textes.
Je t’ai cherché
Au matin d’un désert
Au soir d’une ville
Dans ce qui nous conte
Et palpite sous le cœur
Hors de la vie
Énigme, dit-on
Il y a Les Cheminants, qui esquissent la voie, qui est la vie aussi. Livre terrible. Parole sensible qui creuse le drame d’une humanité au cœur du destin impossible d’une femme.