AUX PORTES DE TUNIS [TAREK ESSAKER]

L’aspiration irrésistible de ce qui se cache et se révèle dans la tension inéluctable vers l’illisible oubli. Porte-perte, ville-vie, amour-la mort sont les noms des stations que traversent chacun de ces textes.

LA SOLITUDE ME DÉSESPÈRE… [FERNANDO PESSOA]

La solitude me désespère ; la compagnie des autres me pèse. La présence d’autrui dévie mes pensées ; je rêve avec une distraction spéciale, que toute mon attention analytique ne parvient pas à définir.

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