AUX PORTES DE TUNIS [TAREK ESSAKER]
L’aspiration irrésistible de ce qui se cache et se révèle dans la tension inéluctable vers l’illisible oubli. Porte-perte, ville-vie, amour-la mort sont les noms des stations que traversent chacun de ces textes.
L’aspiration irrésistible de ce qui se cache et se révèle dans la tension inéluctable vers l’illisible oubli. Porte-perte, ville-vie, amour-la mort sont les noms des stations que traversent chacun de ces textes.
La solitude me désespère ; la compagnie des autres me pèse. La présence d’autrui dévie mes pensées ; je rêve avec une distraction spéciale, que toute mon attention analytique ne parvient pas à définir.
… Je ne suis plus seul, plus nombreuses les brèches, plus douloureuses les blessures où s’attablent la mémoire et la poussière, le temps et la pierre, les fers et les remparts, la chair et le fil de fer.