LES LETRAS
Il y a le silence.
Et la voix de la déesse.
Elle chante des blues
Et des soleares infinis,
Les sangs noirs
Sont de beaux instruments
À faire de la douleur,
À faire du vivant,
Des cris qui sont musiques
Plus imagés que nos rêves,
Des musiques aux rythmes
D’entrailles et de cœur.
Sueurs,
Poils,
Aisselles chaudes et divines,
Chemises à fleur ou à pois
Trempées d’amour.
Mité Bertrand.
Quintero, Leon y Quiroga | Jesu’ Cristo yo te pío
Chanson (cuplé) por bulerías
♫
Diego Vargas, chant
Pedro Bacán, guitare
Enregistré en novembre 1990 au Rancho del Chiri à Lebrija (Sevilla)
Extrait de Noches gitanas en Lebrija, vol. 2 Luna, EPM / ADES, 1991.
Comme promis à J/G.
Flamenco, heures toujours vibrantes dans mon âme,fleurs vives d’entrailles et déchirures de gorge,doigts se griffant sur les cordes… Éternité et fièvre !
Hécate
Oui… et à écouter et réécouter le grand art, l’immense art, du ‘tocar la guitarra’ de Pedro Bacan, perceptible à travers chaque note. Une émotion vraie, profonde, sensible, sensuelle…, l’Émotion.
D’amour, de douleur et de vie, quelle profondeur dans ce texte et cette nuit gitane : émotion!
Je ne sais pas qui est exactement J/G, mais c’est bô et chô… olé!